ma note
-/5

moyenne
3.52/5

Adieu ma concubine

nombre de notes: 0nombre de notes: 0nombre de notes: 0nombre de notes: 0nombre de notes: 5nombre de notes: 2nombre de notes: 12nombre de notes: 7nombre de notes: 10nombre de notes: 9

les avis de Cinemasie

8 critiques: 3.31/5

vos avis

37 critiques: 3.68/5

visiteurnote
X27 5
Wolvy 3.25
tu0r 4.25
Tred 3.5
Toxicguineapig 3
Titeuf@ 3.75
Sifu Tetsuo 4
racett 5
QuyTam 2.25
Pikul 3.5
Phildu62 3
Omerieux 4.5
Oh Dae-soo 3
nisei 4.5
Mounir 2.5
Manolo 3
LOSHA 4.25
lo sam pao 3.25
Kokoro 4
k-chan 4
Jérémy 4.25
jade 4
Iron Monkey 3.5
Iniman 5
Hojo 5
Hidelirium 4.75
geez 3.75
Fred30 2
eniger 2.25
Chang La Rage 3.25
Catt 4.75
Black_pantha 3
Bastian Meiresonne 3.5
balboa 3.75
Anicky 2
Amaury 4.5
White Snake 3.25


classer par notes | date | rédacteur    longueurs: toutes longueurs moyen et long seulement long seulement

chef-d'oeuvre

28 janvier 2003
par X27


Un film complet, avec un scénario et des personnages très intéressants, une beauté visuelle exceptionnelle, et en plus une vision au travers du monde de l'art de l'histoire mouvementée de la Chine au cours du vingtième siècle. Un film poignant, à voir absolument, ne serait-ce que pour la performance d'acteur de Leslie Cheung.

30 juillet 2010
par racett


Une souffrance latente

Adieu ma concubine est un chef d'œuvre du cinéma asiatique.. Cela tout le monde le savait... Gong Li y est magnifique, elle irradie de beauté et de force! J aime ce film car il est comme ds la littérature asiatique, plein de longueurs qui sont difficiles à accepter de notre point de vue occidental. Cette lourdeur, ce silence ponctué de chants d'opéra et de tambours est troublant... les couleurs des robes et parures jurent avec le gris de la demeure... Ce film n'est que contraste comme pour nous prouver que la vie de la concubine n'est qu'illusion de bonheur dans une vie de femme à l'infinie tristesse...

22 avril 2003
par LOSHA


Flamboyant

La Palme d’or cannoise de 1993 avait autant permis au film de remporter un succès inattendu qu’au festival lui-même de se trouver une légitimité nouvelle et une parfaite bonne conscience politiquement correcte, récompensant autant une Chine en phase d’ouverture qu’un simple spectacle si somptueux soit-il, prix d’ailleurs partagé avec LA LECON DE PIANO. A revoir le film plus de dix ans après, on se rend compte qu’il a bien supporté l’épreuve du temps, d’abord peut-être par son sujet déjà bien rétrospectif en 1993, et bien sûr par ses qualités propres. D’une splendeur visuelle constante, ADIEU MA CONCUBINE bénéficie d’une photographie hyper soignée qui flirte avec le chichiteux pour mettre en valeur ces décors, costumes, et mouvements de foule qui ont mobilisé une machinerie technique impressionnante. Il est très facile de se laisser bercer par ce flot d’images toutes droit sorties d’un tableau flamboyant. Mais force est alors de constater que le scénario bâti sur plusieurs époques souffre d’un manque de rythme en son milieu : après les superbes passages sur l’enfance et la description assez ahurissante des conditions d’apprentissage de l’Opéra,puis les premiers triomphes de l’age adulte avant l’occupation japonaise,quelques longueurs viennent déséquilibrer une histoire de prés de trois heures, avec des redondances esthétisantes qui ne font plus avancer l’intrigue, passage à vide heureusement racheté par une fin assez intense, plus directe et d’une sècheresse en rapport avec l’époque de la Révolution culturelle, traumatisme pour toute une génération de chinois, les intellectuels en particulier, et visiblement essentielle au propos de CHEN Kaige. Cette scène d’autocritique publique qui vire au règlement de compte de toute une vie est d’une puissance dramatique incontestable, avant un final couperet, conclusion inévitable d’une vie consacrée à perfectionner son Art, au-delà de vicissitudes plus terrestres d’une époque très mouvementée et souvent sanguinaire. Ou quand la réalité rejoint le théâtre. Avec son trio d’acteurs charismatiques dominant une belle distribution, le cinéaste jouait sur du velours, entre GONG Li aussitôt consacrée nouvelle icône du cinéma international grâce à ce film (et avec EPOUSES & CONCUBINES un an plus tôt), beauté élégante et actrice de caractère, LESLIE CHEUNG en pleine possession de son art et se délectant à jouer une Diva d’Opéra maniérée à laquelle on le comparait parfois, et ZHANG Fen-Yi à la belle présence. Intéressante vision d’une page d’histoire et de culture méconnue en Occident, ADIEU MA CONCUBINE est aujourd’hui un classique, film académique sans doute un peu surchargé et parfois à la limite de la prétention, mais d’une beauté inaltérable, à l’instar de son héroïne intemporelle, cette concubine à la préciosité sans doute calculée mais toujours fascinante.

24 octobre 2005
par Kokoro


Un très beau film.

Un chef d'oeuvre, trop long toutefois, avec quelques longueurs.

17 février 2003
par Jérémy


tres beau!

un film troublant et boulversant.

10 mars 2002
par jade


Chef d'oeuvre en péril

C'est simple, la première partie de ce film tient du miracle, un véritable morceau de bravoure, une intensité dramatique absolument saisissante, une réalisation parfaite de Chen Kaige. La seconde partie du film est plus plombée par des considérations inintéressantes qui soudainement font la part belle à la dramaturgie de palais et à un maniérisme un peu trop appuyé. Les interprètes, Leslie Cheung et Zhang Feng-Yi en tête sont excellents et c'est paradoxalement au moment où ils font leur apparition que la réalisation de Chen Kaige devient plus branlante et que le film devient plus soporiphique. Donc on en concluera que la seconde partie est sauvée par les acteurs. Dommage que l'inégalité tue ce qui aurait pu être une oeuvre majeure.

19 août 2002
par Iron Monkey


Un film historique, beau, dramatique un chef d'oeuvre.

"Des années 20 aux années 70, des Seigneurs de Guerre à la Révolution Culturelle, de l'invasion japonaise au communisme, ces années qui transformèrent la Chine servent de toile de fond à cette grande fresque lyrique ou deux acteurs de l'Opéra de Pékin et une courtisane tentent de maîtriser un destin inextricablement mêlé à celui de leur pays" Un film bouleversant, les images sont belles et l'on ne peut être qu'en admiration devant une telle histoire, celle de la Chine, de l'Opera de Pekin, et de la vie amoureuse des personnages. Les acteurs sont tout simplement exellent et font de ce film une pure perle un CHEF d'OEUVRE. Et en plus on a le droit a une merveilleuse Gong Li. Rarement, une Palme d'Or aura été aussi méritée !!!!

02 décembre 2005
par Iniman


Des acteurs au sommet de leur art

L’œuvre de Chen Kaige est sans nul doute un des meilleurs films que j’ai eu l’occasion de regarder, et je comprends mieux à présent pourquoi ce film a reçu la palme d’or au Festival de Cannes. Il faut d’abord saluer le scénario époustouflant, scellant le destin de l’opéra de Pékin et de ses loyaux « serviteurs » au travers de l’histoire de la Chine, de ses années de troubles politiques et culturels. Les acteurs ont aussi contribué au succès de ce chef d’œuvre. Ils se sont donner corps et âmes dans ce film, Zhang Fengyi et Gong Li ont réalisés de grosses prestations. Mais celui qui a ébloui de sa classe, c’est le regretté Leslie Cheung. C’était pourtant un rôle très difficile à interpréter et il s’en sortit avec tous les honneurs. L’acheminement du simple élève au rang de star est aussi très intéressant, même si, comme moi, on n’est pas passionné par l’opéra. Le film est très long, mais cela ne m’a absolument pas gêné au vue de la qualité cinématographique. Avec Adieu ma Concubine, Chen Kaige reçut la reconnaissance internationale, tout comme les acteurs principaux du film. Et j’estime que c’est une juste récompense pour l’émerveillement que cela m’a procuré.

14 septembre 2008
par Hidelirium


La première moitié du film

nous a suffi (et pourtant quand on va au cinéma à deux, on a souvent peur de casser quelque chose en proposant à l'autre de sortir). Les images étaient très belles mais la cruauté gratuite, difficilement soutenable.

28 mai 2003
par Anicky


achat
info
actions
plus